jojo Posté(e) le 26 janvier 2020 Signaler Posté(e) le 26 janvier 2020 existerait-il une carte où tu rentres en USB d'un onduleur, et que ça te transforme toutes les infos en SNTP ?
TheRevolutioner Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 Les modèles Ellipse PRO sont aussi gérables dans l'HC2 ?
BenjyNet Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 Non, il te faut une carte réseau dessus.
Barelle Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 S'ils sont connectés (en USB) à un NAS Synology, DSM intégrant un serveur UPS, on peut récupérer l'état des modèles Ellipse PRO.
TheRevolutioner Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 Je compte justement prendre un NAS Synology, le RS217
BenjyNet Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 Ouais sauf que lorsque ton NAS va s'éteindre, tu perds toute info de l'ups. Chez moi il s’éteint bien avant que l'UPS n'ait plus de batterie.
Barelle Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 (modifié) C'est exact, on peut également considérer : - que le délai d'arrêt du Nas est paramétrable ; - que rien n'interdit de brancher la box domotique sur l'UPS ; - qu'il est ainsi totalement possible de gérer l'arrêt du Nas par la domotique ; - et que le télétravail n'impose pas d'investir dans un datacenter at home. Modifié le 8 mai 2020 par Barelle
mprinfo Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 Module virtuel v2.0 1. Présentation Ce module virtuel permet de monitorer un onduleur Eaton via le protocole standardisé SNMP. 2. Fonctionnalités Surveillance de l'état de l'onduleur au travers de la carte de management réseau Mise à jour des labels du module virtuel Mise à jour de variables globales Écriture de la consommation (Watts), de la température (°C), et de l'humidité (%HR) dans des Fake-devices Notifications par Email, Push, et SMS Récupère la température et l'humidité si une sonde environnementale EMP est connectée au port dédié de l'onduleur. 3. Limitations Protocole SNMP v1 uniquement (pas de sécurité : authentification, chiffrement) Fait du polling à intervalle régulier, ne supporte pas les Traps SNMP. 4. Installation 4.1. Import du module virtuel Importer le module virtuel (fichier vfib) de façon habituelle sur la box HC2, et changer l'adresse IP et le port 161, puis importer l’icône : Modifier les paramètres suivants dans le code de la Main Loop : par exemple : local snmp_community = "public" -- SNMP community stringlocal snmp_version = 1 -- SNMP versionlocal snmp_protocol = "udp" -- SNMP protocollocal VG = { -- Global Variables["VG_BatteryStatus"] = "UPS_BatteryStatus", -- Battery stats : (unknown|batteryNormal|batteryLow|batteryDepleted)["VG_MinutesRemaining"] = "", -- Battery time left : (unit : minutes)["VG_ChargeRemaining"] = "UPS_ChargeRemaining", -- Battery charge : (unit : %)["VG_InputVoltage"] = "", -- UPS Main voltage : (unit : Volts)["VG_OutputSource"] = "UPS_OutputSource", -- UPS output mode : (other|none|normal|bypass|battery|booster|reducer)}local DEVICE = {["power"] = 27 -- Device ID Power (fake-device)["temperature"] = 73, -- Device ID Humidity (fake-device)["humidity"] = 127, -- Device ID Temperature (fake-device)}local userID = {"Lazer"} -- Mail notificationlocal smartphoneID = { -- Push notification"Google Pixel 2 XL","Google Pixel C",}local sms = { -- SMS notification["VD_ID"] = 98, -- Virtual Device ID["VD_Button"] = "1", -- Virtual Device Button["VG_Name"] = "SMS" -- Global Variable Name} Remarques : snmp_community : public par défaut snmp_version : seule la version 1 est supportée, ne pas modifier snmp_protocol : udp par défaut VG : permet de définir des variables globales qui sont automatiquement créées par le VD et qui contiendront l'état de l'onduleur, utilisé pas vos scénarios (notamment des scènes sur déclenchement (trigger) lors de la modification des variables globales) DEVICE : permet d'écrire la puissance délivrée par l'onduleur dans des fake-device. Si vous avez une sonde d'environnement connectée au port dédié, les informations de température et d'humidité sont également utilisables. userID : ID de l'utilisateur à qui envoyer des emails, au format numérique ou chaine de caractères smartphoneID : mobiles à qui envoyer des notifications Push, au format numérique ou chaine de caractères sms : ID du module virtuel, bouton à cliquer, et variable globale pour envoyer des SMS (via SMS Gateway sur smartphone Android) mais vous pouvez le détourner pour envoyer des notifications Pushbullet ou autre. 4.2. Icône 5. Téléchargement Onduleur v2.0.vfib J’espère qu'il y aura une version pour HC3 lorsque ce sera possible on verra ra bien ......
Lazer Posté(e) le 8 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 il y a 9 minutes, Barelle a dit : - et que le télétravail n'impose pas d'investir dans un datacenter at home. Justement, faut penser au retour au bureau, avec les moyens dérisoires mis à notre disposition (je bosse dans une boite de service, ce sont les cordonniers les plus mal chaussés...), je suis bien content d'avoir une infrastructure disponible 24/7/365 chez moi pour travailler à distance. En fait, c'est un peu du télétravail depuis le bureau. Et je n'ai pas attendu le confinement pour ça. Et je ne parle même pas du poste de travail, à la maison je suis sur un Core i9 avec écran 32" + 24", un fauteuil super ergomique, etc. Au bureau, j'ai un core i5 de portable, donc assez lent. Et encore je suis privilégié, j'ai un écran externe 24". Bref, le télétravail à la maison, c'est la vie @mprinfo tu as fini de faire le lourd, tu me l'as demandé au moins 3 fois en 1 semaine.... Tu sais très bien que ça sera le cas quand Fibaro permettra de faire de l'UDP sur la HC3. Accessoirement, quand j'aurais une HC3.... 1
BenjyNet Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 T'avais fait comment pour l'UDP déjà sur la HC2 ? T'avais pas codé un truc particulier ?
Lazer Posté(e) le 8 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 Au début l'UDP était buggué donc inutilisable. Du coup j'avais fait du TCP, avec "socat" qui faisait la "conversion" entre les 2 protocoles. C'était fonctionnel, mais un peu lourd à mettre en place et à maintenir. Parce qu'on dépend de la machine qui fait tourner socat, sous Linux (un Raspberry PI, une VM, ou une HC2 rooté...)
BenjyNet Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 Ah oui ok, c'est vrai, t'en avais parlé.
mprinfo Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 @lazer avec le confinement j'ai du prendre du poids Je viens d'installer hass.io il y a un plugin pour Eaton et huawei e5186 va falloir que je teste Envoyé de mon BLA-L29 en utilisant Tapatalk
Barelle Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 Une boite de service, cela n'explique en rien l'activité réalisée... Que comme tout bon geek, on aime se faire plaisir avec du beau matériel tout neuf, cela ne fait aucun doute. Hors circonstances exceptionnelles, le télétravail est principalement fonction du type d'activité, du client et bien sûr de la politique de l'entreprise. Il faut ajouter que légalement, l'employeur doit indemniser les moyens engagés par le salarié à son domicile : remboursement au prorata de l'abonnement internet, moyens informatiques, mobilier... Enfin, toujours selon le type d'activité et les moyens auxquels le salarié doit accéder, le télétravail représente une faille de sécurité potentielle nécessitant une étude particulière.
Lazer Posté(e) le 8 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 Ouh là, t'es syndicalisé toi ? ça me rappelle un pote (qui bosse dans une grande boite française du CAC40) dont les syndicats sont tellement chiants qu'ils imposent une visite au domicile AVANT d'autoriser le télétravail du salarié, pour s'assurer qu'il a un bureau ( = une pièce) dédiée à cette activité. Comme il est en appart, il a été obligé de virer le lit qui servait de chambre d'ami pour le remplacer par un clic clac afin de justifier que ce n'est plus une chambre à coucher. Vraiment n'importe quoi, le télétravail est une facilité pour le salarié de travailler à domicile, organiser son temps, et même gagner du temps (suppression des temps de transports, gain de productivité, etc) Chez lui donc, c'est tout l'inverse... bon au final il a quand même fini par avoir son autorisation de télétravail après avoir justement remplacé le lit. Mais ce qui est comique c'est qu'il travaille sur le canapé avec le portable sur les genoux. Tout cela hors confinement bien sûr, la situation actuelle est exceptionnelle. Moi je ne demande rien, je m'en fous que l'entreprise me paye mes charges, tout ce que je demande c'est de pouvoir travailler où je veux, quand je veux, et en étant le plus productif possible. Mais clairement, ce n'est pas le souhait de la plupart des gens. De toute façon le simple fait d'être chez moi me fait déjà économiser le prix du repas du midi, et rien que ça c'est énorme. Et je ne parle même pas du transport.
Barelle Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 Non, jamais syndiqué, 16 ans chez un constructeur, second mondial à une époque, 20 ans en société de service, support client en système, transactionnel et réseau, consultant, directeur de projets, homme à tout faire , spécialiste des cas désespérés, retraité, et citoyen légaliste. La plupart des société de services sont des marchands de temps de travail (de viande quoi, surtout les plus grandes) qui, confrontés à la dictature du TJM, exploitent ouvertement des armées de petits jeunes, souvent en reconversion. Nous croulons sous les lois et règlements qui nous coûtent un pognon de dingue, s'ils ne sont pas respectés, c'est de l'argent jeté par la fenêtre... Après, l'autonomie des cadres, dans la mesure où leur contrat de travail prévoit la fixation d'objectifs, peut être totale, cela dépend du management. J'ai pu constater que, quelle que soit l'entreprise, privée ou publique, les commerciaux bénéficient toujours d'une plus grande autonomie que les ingénieurs, va savoir pourquoi ? Sans doute la part fixe de leur rémunération étant plus faible... Mais on revient là au contractuel, donc au légal...
Lazer Posté(e) le 8 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 il y a 2 minutes, Barelle a dit : La plupart des société de services sont des marchands de temps de travail (de viande quoi, surtout les plus grandes) qui, confrontés à la dictature du TJM, exploitent ouvertement des armées de petits jeunes, souvent en reconversion. ça je suis bien d'accord.... Mais pour avoir commencé ma carrière chez un client final (un groupe qui a fini par rejoindre le CAC40), c'est pire. Je préfère largement les sociétés de service. Il faut savoir choisir, comme tu dis la plupart sont des marchants de viandes. Quand on est passionné par la technique, c'est là qu'on s'éclate le plus. Et c'est un peu pour ça que j'ai mon datacenter à domicile, vu qu'on ne nous en donne pas les moyens au bureau... pourtant on est censés s'auto-former, mais juste avec du web-learning, la bonne blague. Là où je suis j'ai effectivement une grande liberté. Et quand on ne me la donne pas, je la prend. Le télétravail, ou les horaires (que je ne respecte pas du tout) n'ont jamais été un critère de discussion pour moi. C'est à prendre ou à laisser. On me paye pour faire un travail, pas pour faire de la présence. Quand je dis ça, le manager se tait et accepte mes conditions. Et tout le monde est content. Valable aussi chez les clients, mais faut être un peu plus diplomate là bien sûr Les commerciaux sont toujours la population la plus estimée dans le cœur des dirigeants, pour une raison toute simple : ce sont eux qui ramène le pognon. Et ce sont eux qui partent avec leurs clients en cas de démission. Donc ça leur laisse une très grand autonomie. L'ingénieur, à l'inverse, il coute cher. Outre son salaire, il réclame toujours plus de moyens pour travailler (la R&D, la formation, tout ça coute cher, et certains dirigeants ne savent pas investir)
Barelle Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 Encore mieux que la société de service, le constructeur : cours abondants (aux US ou en UK), avec dès que son expertise est reconnue, accès aux usines de matériel ou de logiciel et donc à des informations ou à des concepts qui prennent forme plus de 10 ans plus tard (j'ai dû entendre parler des messages broker pour la première fois vers 87 ou 88), et là aussi, si on a su acquérir un certain poids reconnu, une autonomie totale, sauf pour l'engagement de moyens au delà d'un certain seuil où, comme partout, il faut monter un dossier. A une époque, dans les services centraux d'un grand producteur d'électricité, plus gros embaucheur d'ingénieurs en France, les moyens techniques étaient plus que conséquents. Comme dans toute les grosses structures, il y a toujours un service prévu pour réaliser tel ou tel travail, et donc une surcharge pondérale de l'administratif (cf. le principe de Parkinson dont nous souffrons nationalement). A l'opposée, dans une PME, les moyens limités obligent à faire soi-même un grand nombre de tâches, ce qui est beaucoup plus valorisant. Sur le télétravail, j'ai expliqué pendant des années que les projets open source étaient souvent développés par des gens qui ne sont jamais rencontrés et que rien n'interdit de s'inspirer de ce type d'organisation (en réseau) pour la conduite de gros projet (en rémunérant au forfait les développeurs de telle ou telle fonction), je confesse n'avoir eu aucun succès face à des managers (surtout chez les clients qui assoient leur autorité sur la largeur et la profondeur du râteau de leurs subalternes)
Lazer Posté(e) le 8 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 Oui les constructeurs, j'y songe, mais les places sont chères, d'autant plus qu'ils s'appuient de plus en plus sur leurs partenaires, et que les conditions de travail sont de moins en moins intéressantes. J'avais fait des entretiens chez EMC avant le rachat par DELL... finalement je suis content de ne pas y être allé. Je suis très spécialisé IBM, et même si les employés ont accès à des technos de fous, les conditions de travail chez eux sont de pire en pire. Ce qui est en vogue actuellement, ce sont les éditeurs de logiciels surtout. Toutes les startup connues et moins connues. Oui la bureaucratie, ce qui fait que je préfère les petites boites de services aux grosses multinationales. Après j'ai des clients qui adorent, et qui détesteraient faire mon métier. Donc y'en a pour tous les goûts Même si globalement, j'ai tendance à penser que sur la durée, les conditions de travail se dégradent globalement dans toutes les boites. Plus que jamais, y'a que le pognon pour les actionnaires qui prime.
Barelle Posté(e) le 8 mai 2020 Signaler Posté(e) le 8 mai 2020 Quand j'étais petit, Dell avait déjà mauvaise réputation, IBM imposait l'uniforme, Dec avant son rachat était apprécié, HP ne vendait en France que des instruments de mesure... La dégradation des conditions de travail, trouve, selon moi, sa source dans les orientations politiques largement diffusées par les grands cabinets de conseil américains auprès des entreprises et de certains gouvernements (en France sous Sarko), on y retrouve des aspects pertinents (KISS, tout ce qui se mesure s'améliore...) mais aussi des dogmes (big is beautiful, l'unité de mesure comprise par tout le monde est monétaire, do more with less...). Ces idées brillamment diffusées auprès des DG ont peu à peu envahi le monde de l'entreprise et les écoles de commerce ou d'administration. Cela a débouché vers le développement d'un système financiarisé à outrance où les dividendes versés aux actionnaires deviennent un objectif qui prime sur la qualité du service rendu au client ou sur la vision industrielle qui elle s'inscrit dans le temps long. On assiste donc à une partition (accentuée par le code des marchés publics) avec d'un coté les grandes sociétés (ou organismes) qui confient leurs grandes commandes aux grandes entreprises, et de l'autre les PME, qui hésitent moins à confier des travaux à des boites plus humaines. Mais dès qu'une petite entreprise devient attractive, elle se fait racheter par une plus grosse, c'est d'ailleurs très souvent l'objectif des startuppers qui exploitent sans vergogne de jeunes développeurs en leur faisant miroiter des avantages et un état d'esprit (baby-foot, massages...) et qui s'empresse de faire la culbute dès que leur bébé a acquis suffisamment de notoriété pour être vendu ; l'acquéreur, fréquemment, se dépêchant de fermer sa nouvelle acquisition en l'accusant de défaut de rentabililité. Il existe des contre-exemples comme Fibaro ou Netatmo, pour notre domaine d'intérêt. Désolé d'avoir pourri ton post sur l'onduleur connecté.
TheRevolutioner Posté(e) le 27 mai 2020 Signaler Posté(e) le 27 mai 2020 Je viens de recevoir mon Eaton 5P 650i R (rack). Si j'ai bien compris il faut ajouter une carte communication pour le mettre en réseau ?
TheRevolutioner Posté(e) le 27 mai 2020 Signaler Posté(e) le 27 mai 2020 (modifié) Tu sais où je peux la trouver à prix correct ? Je la trouve à des tarifs assez élevé, presque aussi cher que l'onduleur lui même. Il y a une alternative sinon ? Modifié le 27 mai 2020 par TheRevolutioner
Lazer Posté(e) le 27 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) le 27 mai 2020 eBay ou le Bon Coin, faut surveiller les annonces, et en chopper une soit d'occasion, soit neuve sortie d'un stock (beaucoup d'admins systèmes en entreprise ne s'en servent pas et les revendent pour arrondir leurs fins de mois)
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