Lazer

Attention ça c'est exclusivement sur NAS Synology, si tu regardes tu verras que l'email est envoyé à l'aide d'une commande PHP, qui va à son tour utiliser le serveur email configuré dans le panneau de configuration de DSM. Comme je le répondais à @mprinfo en privé, il y a à peu près autant de façon d'envoyer un email depuis Linux que de distributions... donc il faut adapter au cas par cas. Une petite recherche Google vous en dira plus, il est probable qu'il faille installer quelques paquets supplémentaires, car une Debian en installation minimale n'embarque pas grand chose. Autre aspect à prendre en considération, à cause de la lute ant-SPAM, les serveurs emails sont de plus en plus restrictifs, et bloquent la plupart des emails qui ne proviennent pas d'une source sûre. Du coup, la difficulté ne vient pas de la configuration Linux (10 millisecondes de recherche Google), mais de trouver un serveur SMTP qui accepte le relai... celui de votre opérateur, celui de Gmail, etc... le plus souvent avec authentification. Attention aussi aux opérateurs qui bloquent purement et simplement le protocole SMTP sortant, je crois me souvenir que SFR avait mis ça en place il y a quelques années.

Il fonctionne très bien, j'en ai 2 (plaque de cuisson et pompe à chaleur)

Oui toujours sous Windows 10. Pas de raison particulière, en fait c'est surtout que j'ai pas trouvé de raison de migrer vers Windows 11. Après plusieurs années de stabilité sous Windows 10 avec des mises à jours mineures, et majeures chaque semestre, je n'ai jamais compris pourquoi Microsoft a décidé de revenir comme avant avec une nouvelle version de Windows tous les 2 ans.... car Windows 11 ne va pas rester longtemps, je crois que Windows 12 est attendu pour cette année. Bref, c'est du marketing, ça me fatigue. Les entreprises aussi d'ailleurs, partout où je vais c'est du Windows 10, remarque ça me fait une raison de rester en Windows 10, au moins j'ai la même interface à la maison et au bureau, et je ne perds pas de temps.

Sûrement vu que ça fonctionne déjà sous Windows 10 (cf ma capture d'écran)

Ah cool, super

Ah oui Postman c'est l'application historique la plus connue pour cet usage sur navigateur. Mais sinon curl c'est simple Faut juste pas être allergique à la ligne de commande. D'ailleurs quand je dis Linux, ça peut être une fenêtre sur Windows, pas besoin d'une machine Linux dédiée.

Le support est parfois surprenant (dans le bon sens), donc qui ne tente rien n'a rien... au pire ils ne répondront que la semaine prochaine... Le transfert de backup d'une HC2 à une autre doit se faire en passant par le cloud Fibaro, c'est une procédure sécurisée (qui déchiffre/rechiffre le backup en fonction d'une clé logicielle unique et propre à chaque box) Un backup local ne peut pas être restauré sur une autre box, il peut seulement l'être sur la box d'origine.

Après pas mal de cheveux perdus, j'ai fini par comprendre comment utiliser les listes de selection drop-down à la mode Fibaro.... à vrai dire je ne sais pas si c'est un bug ou un comportement prévu, mais c'est vraiment très étrange Si on charge de façon dynamique (lors de l'exécution du code LUA) les options avec self:updateView(), comme dans ton exemple, alors il est impossible de sélectionner une option dans la liste. Je veux dire par là que l'utilisateur peut sélectionner une option dans la liste, ça va bien déclencher la fonction de callback, mais l'option choisie ne restera pas sélectionnée dans la liste, il est impossible de forcer la présélection avec self:updateview() ce qui nuit considérablement à l'expérience utilisateur, puisque le propre d'une liste déroulante est de montrer l'option actuellement sélectionnée et de permettre visuellement d'en changer. Pour que la présélection fonctionne, il faut 2 conditions : Les options doivent être chargées de façon statique dans la fenêtre de modification du QuickApp, sur la droite de l'écran lors de l'édition du contrôle : Dans le code LUA, la présélection d'une option peut alors se faire avec l'argument "selectedItem" dans la fonction self:updateView(), comme ceci : self:updateView("SelectSwing", "selectedItem", "Off") Ah la logique polonaise et ses subtilités, elle nous surprendra toujours Voici un exemple de code plus concret pour la fonction de callback associée à la capture d'écran ci-dessus : function QuickApp:selectSwing_onToggled(event) self:updateView("SelectSwing", "selectedItem", event.values[1]) -- Puis fait d'autres choses afin de réaliser l'action désirée... -- ... end On constate qu'on récupère la valeur de l'option sélectionnée par l'utilisateur dans la variable event.values[1] Dans mon cas c'est simple puisque la valeur de l'option correspond à son nom. Note : la modification "statique", telle qu'effectuée dans la fenêtre de modification du QA (capture d'écran) est en réalité possible pseudo-dynamiquement dans le code LUA. Pour cela, il faut modifier le QA proprement dit, non pas avec updateView (qui n'agit qu'en mémoire vide), mais avec api.put("/devices/ID", ...) ce qui a pour effet de sauvegarder la config du QuickApp dans la base de données, mais aussi de la redémarrer instantanément... attention aux effets de bord, il ne s'agirait pas de faire cette modification de façon inconditionnelle dans onInit(), sinon on obtient un QA qui reboot en boucle.

Très étrange... Le root ne servira(it) à rien, c'est juste mprinfo qui fait le malin Tu as testé le support Fibaro ? Ils peuvent prendre la main à distance.

curl, en ligne de commande Linux

Et il te liste bien les caméras au démarrage du QA ? Car les numéros qu'ils te liste doivent correspondre au numéro que tu mets dans ton bouton PTZ. Dans ton exemple, c'est le "1". Ensuite, tu as dû te louper pour le debug = true, car on ne voit rien de plus dans le log. Si tu as téléchargé le fichier du QA , tu n'as rien de plus à faire, les librairies sont déjà embarquées.

Essaye avec ceci : string.match(string.gsub(TEXT, " ", ""), 'Chargeactuelle<spanclass="font%-boldtext%-primary">&nbsp;(%d+)kWh</span>') Les astuces utilisées : On commence par un string.gsub afin de retirer tous les espaces, ce qui me simplifie l'extraction de la valeur numérique (à cause de l'espace des milliers) les caractères - sont préfixés avec un signe % pour les protéger afin qu'ils ne soient pas interprétés dans la regex La sélection de la valeur numérique se fait avec %d+ qui signifie 1 ou plusieurs chiffres numériques les parenthèses autour de la sélection numérique servent à l'extraction de la valeur EDIT : string.match() renvoie une chaine de caractères, donc il faudra faire un tonumber() pour obtenir un vrai nombre exploitable dans des calculs.

Je suppose que tu as bien créé tes positions prédéfinies dans SS, puis qu'au lancement du QA il te liste bien les numéros de position ? Essaye d'ajouter une variable de QuickApp appelée "debug" à laquelle tu mets la valeur "true", puis relances le test, on aura plus de logs pour essayer de comprendre ce qui se passe.

Hum... Je pense que tu pourrais faire le calcul de la charge de la BV avec ta domotique, en faisant la somme de ce qui est injecté et de ce qui est soutiré (l'une des 2 valeurs étant négative), depuis que tu as activé ce contrat chez USE. Met ta ligne HTML au format texte (et pas image), j'essaierai d'écrire la regex correspondante.

Une page HTML, c'est du format XML. Avec string.match() et la bonne expression régulière tu peux extraire les informations désirées entre les balises. Tu trouveras des exemples sur le forum car ce sujet a déjà été traité dans le passé (même si le format XML est complètement tombé en désuétude, avantageusement remplacé par le JSON) Mais c'est un peu pénible à faire, surtout si la page Web change sans prévenir (nouvelle mise en forme, etc) Cela dit je pense que tu prends le problème à l'envers. Je suppose que USE ne propose pas d'API. Mais alors pourquoi ne pas aller prendre l'information à la source ? Idéalement sur ton compteur Linky, avec la télé-information, tu auras la mesure d'injection en temps-réel, et tu pourras faire tes statistiques par jour, moins, année. Ou bien sur ton compte Enedis, puisque les infos du Linky y remontent également. Ainsi, en prenant l'information à la source, depuis le compteur, tu pourras en plus vérifier que ce que tu vois dans ton dashboard USE correspond à ce que tu as réellement injecté.

ça sera peut être l'occasion d'allumer la cheminée, j'ai du stock de bois qui m'encombre.

Et non, chrispec tu as manqué mon message, sinon tu aurais gagné au moins 1 jour J'ai bien l'impression que c'est ça :

Bienvenue sur le forum

Oui clair, je suis certain qu'on va se taper 5 jours rouges consécutifs. En plus je vais être bloqué à la maison toute la semaine, donc ça va me coûter bien cher cette histoire ...

Tu te connectes bien en local ? Avec l'adresse IP, pas via le cloud.

Non.... justement regarde sur cette page, on en parle ici :

Ah oui bien vu @Bloug, c'est une explication très plausible Même si bien inscrit dans le tuto :

C'est embêtant ça.... si ça se trouve ils ont changé d'API sur les modèles récents Désolé mais là tout de suite je sèche, je n'ai pas d'idée pour avancer

euh.... normalement c'est le bon : 54321 sinon il faut utiliser un scanner de ports, comme nmap, pour lister tous les ports ouverts sur un appareil. Déjà, est-ce que tu peux bien pinguer ton robot ? J'ai constaté sur le miens que lorsque l'accès Internet est indisponible, le robot ne répond plus en local. C'est complètement débile de bloquer une API locale quand l'accès Cloud est HS, mais c'est comme ça, bienvenue dans l'ère des objects connectés jetables.

Pas de réponse de l'aspirateur, donc si tu es sûr qu'il est bien connecté au Wi-Fi, il faut que tu vérifies l'adresse IP et le numéro de port.