Lazer

Alors pour la décoration, tu choisis le système qui te plait, tout est affaire de gout (et de tarifs) Perso je suis en Celiane car j'ai commencé comme ça, donc je continue, mais tu peux choisir Schneider Ovalis, c'est surement très bien aussi. Un bouton monostable reste un monostable, quelque soit son apparence.

Rien à voir, tu confonds mono/bi-stable et uni/bi-polaire Le bipolaire s'emploie pour un disjoncteur ou un contacteur (relai) pour signifier qu'il coupe effectivement 2 fils : le neutre et la phase. Par opposition au unipolaire. Il existe l'équivalent tétrapolaire et quadripolaire pour le triphasé (3 Phases, et 1 Neutre) Dans le cas qui nous concerne, à savoir l'éclairage, dans tous les cas, l'interrupteur ne coupe qu'une seul fil... normalement la phase mais rien n'est moins sûr. Pour cette raison on conseille de toujours couper le disjoncteur avant de changer une simple ampoule (ce que bien sûr personne ne fait) Dans un schéma électrique classique, on utilise obligatoirement un interrupteur bistable, car il doit conserver sa position tout seul pour que la lampe reste allumée (si on utilisait un monostable, la lampe s'éteindrait immédiatement après avoir enlevé le doigt du bouton.... peu pratique... sauf pour jouer à jour/nuit) En quelque sorte, un interrupteur (qu'il soit mono ou bi-stable), est un montage unipolaire (bien que le terme ne s'emploie pas... encore une fois, les termes unipolaire et bipolaire sont plutôt utilisés pour les disjoncteur et contacteurs) A partir du moment où tu domotises un circuit, l'interrupteur ne sert plus à rien. En tout cas il n'a plus de pouvoir de coupure du circuit, c'est le module domotque qui s'en charge (que ça soit via un relai mécanique, un un composant appelé triac , ou bien encore toute autre électronique plus ou moins soffistiquée) Avec le module domotique, l'interrupteur ne sert plus qu'à donner un ordre au module (simple clic, double clic, appui long, etc.... plein de combinaisons qui permettent de faire différentes actions). Avec un interrupteur bistable traditionnel, on comprend vite qu'on n'a que 2 possibilités : enfoncé ou pas. Du coup, ça correspond basiquement aux ordre ON et OFF que le module va répercuté sur la lampe. Au final, pour l'utilisateur, le comportement est le même qu'avant (= sans le module domotique, avec l'interrupteur en direct sur le circuit électrique) Là où ça devient intéressant, c'est qu'en utilisant un interrupteur monostable (encore appelé poussoir), celui-ci revient immédiatement à sa position après appui, ce qui permet : - simple clic : ON ou OFF selon l'état en cours du circuit (le module connait le statut ouvert/fermé du circuit, il lui suffit d'inverser le rôle). Ce comportement est celui qu'on connait depuis longtemps avec un simple télérupteur installé au tableau électrique (cas typique de la lumière du couloir avec plus de 2 interrupteurs répartis) - appui long : permet de faire varier la luminosité à la hausse ou à la baisse, la variation continue tant qu'on laisse le doigt appuyé jusqu'à obtenir la luminosité désirée. - double-clic : met la lumière à 100% - triple-clic : scénario avancé réalisable sur la box domotique (au choix, tout est possible) On comprend que la meilleure solution quant on a un module domotique est l'interrupteur monostable (poussoir) On comprend aussi que module domotique ou pas, la sécurité est la même, c'est à dire qu'on doit couper le disjoncteur avant toute intervention sur l'ampoule. Évidemment il faut pour cela disposer d'un disjoncteur bipolaire sur la ligne. Si ce n'est pas le cas, alors il faut couper le disjoncteur principal (appelé disjoncteur de branchement, celui qui est posé, scellé, et la propriété d'Enedis), car lui est bien bipolaire.

De toute façon je ne suis pas encore prêt à basculer sur la HC3. Pour l'instant sur la HC3 je n'ai intégré "en prod" que les nouveaux projets : domotisation du chauffe-eau, suivi de la charge de la voiture, Téléinfo du Linky, et quelques bricoles. Cela sera toujours ça de moins à migrer le moment venu.

OK, je m'y mettrais bien, mais j'ai pas trop le temps en ce moment non plus. Je prépare une nouvelle version de GEA, avec entre autre, la possibilité d'utiliser les profils par leur nom, et aussi de gérer le panneau de chauffage (renommé en panneau de climat, puisqu'il gère chauffage+climatisation). Et j'ai aussi une mise à jour du QA pour GCE IPX800/EDRT2 en préparation. Y'a pas d'urgence, on verra le QA pour Roborock plus tard, sauf si y'a un autre motivé entre temps

Aujourd'hui, mon Roomba a encore perdu le Wi-Fi (pour la 100ème fois ....) Hasard du calendrier, ce soir enfin une promo du Roborock S6 Max V à moins de 500€, 489 € chez Rue du Commerce, hop c'est commandé https://www.rueducommerce.fr/produit/roborock-s6-max-v-106757354 (et 499 sur Amazon.fr pour ceux qui préfèrent payer plus cher) Du coup, toujours pas de QuickApp Xiaomi/Roborock pour HC3 ? @Dragoniacs tu n'as pas eu le temps de t'y coller ?

Merci Les ventes continuent à un bon rythme :

Souvent ce genre de logs, c'est quand tu as un paquet qui sort, mais dont la réponse arrive trop longtemps après.... entre temps la pile IP a fermé la socket, du coup quand elle voit cette trame arriver elle la rejette. Simple supposition, ça peut aussi être plein d'autres choses, mais sans les logs détaillés du routeur (que tu n'auras pas puisque tu as une box opérateur), voire un snif du réseau, c'est quasi impossible d'être certain.

A vrai dire je me moque un peu que ça représente le modèle réel, j'aime autant les icônes génériques, mais si ça peut t'inspirer :

Je ne suis pas certain pour la HC3, mais sur la HC2, ce détecteur prend les valeurs binaires true/false, il n'y a donc pas de mesure de valeur. C'est soit bon (value = false, c'est à dire un taux mesuré de 0 ppm), soit mauvais (value = true, c'est à dire un valeur supérieure à 0) Comme je te l'ai dit, le CO c'est extrêmement dangereux, il n'y a pas à tergiverser, en cas de présence de monoxyde de carbone, on fait sonner l'alarme, on ouvre les fenêtres, et surtout on évacue immédiatement la maison ! Et ce quelle que soit la quantité dans l'air. Ce n'est aucunement comparable au CO2 (dioxyde de carbone, ce qu'on rejette en respirant) qui n'est absolument pas toxique pour l'homme (bien au contraire, dans les bureaux on maintient un taux de CO2 élevé pour favoriser la concentration) Bref, dans ces conditions, la règle GEA que je t'ai donné devrait être OK.

Super Petit rectificatif, la fonction formula() était déjà bien documentée en 1ère page, mais sans exemple c'est vrai que c'est peu compréhensible, il faudra que j'essaye d'améliorer ça.

@couillerot j'ai une demande, saurais-tu faire une icône de voiture en charge / pas en charge ?

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Ah mais ce n'est pas du tout un capteur de CO2 (dioxyde de carbone) alors, c'est du CO, c'est à dire du monoxyde de carbone, ça n'a absolument rien à voir (1 atome de différence ) Pour le monoxyde de carbone, ce détecteur n'est utile que si tu as un appareil à combustion chez toi (cheminée, chaudière, etc). En temps normal, le niveau de CO doit être strictement à 0. Tout le temps. Sans aucune exception. Dès que ça dépasse 0, alors alerte immédiate, et surtout évacuation immédiate de la maison, l'intoxication au CO peut être mortelle, ou laisser de graves séquelles. Du coup ton scénario devient tout simplement : GEA.add( id["CAPTEUR_CO"], 30, "Présence de CO, on ouvre", {"Open", id["VOLET_BUREAU"]} ) Ceci permet de déclencher dès que le capteur s'active;

Oui je te confirme que toutes les conditions doivent être validées, c'est donc bien un ET qui est effectué. Tu peux faire un OU ou bien un OU EXCLUSIF avec "Or" et "Xor", je te laisse regarder la syntaxe dans le fichier texte de documentation. ça fait tellement longtemps que je n'ai plus de GEA sur HC2 v3, que je ne me souviens même plus du comportement d'avant.... en tout cas j'avais beaucoup aimé le nouveau fonctionnement de GEA, beaucoup plus logique. Parmi les gros changements, tu verras aussi dans les déclencheurs instantanés (-1), qu'il faut absolument mettre les conditions qui ne sont pas des triggers entre parenthèses (), sinon tu vas avoir des surprises. PS : le QA Netatmo n'est pas de moi, j'ai juste fait 2/3 ajouts comme le niveau de batterie et quelques bricoles.

Bienvenue sur le forum Chouette projet

Effectivement, tu viens de la vieille syntaxe des premières version de GEA. Essaye de rajouter un "Repeat" dans les actions, comme ceci : GEA.add({{"Sensor-", id["PRISE_CELLIER"], 6.9}, id["PRISE_CELLIER"]}, 5*60, "", {{"Repeat"}, {"turnOff", id["PRISE_CELLIER"]}}) EDIT Pour @Sakkhho fait une restauration du dernier backup pour retrouver ton module.

Tip top, avec le PSD en plus, merci beaucoup @couillerot

C'est quoi ton capteur ? J'ai 2 capteurs de CO2 (Netatmo, et MCO-Home en Z-Wave), et ils retournent tous deux des valeurs cohérentes entre 400 et plus de 1000 selon l'aération de la pièce. Quoi qu'il en soit, dans GEA, c'est bien sa value que tu vas tester pour déclencher ton scénario.

De mémoire "Sensor" c'est pour la puissance électrique consommée, donc inapplicable à un détecteur de gaz. Il faut que tu utilises "Value" à la place. Je te déconseille l'utilisation de -1 sur un détecteur de mesure analogique, c'est à dire dont la valeur varie sans cesse. Cela va déclencher sans arrêt, et consommer des ressources inutilement sur la box. Par ailleurs, je ne suis pas certain de comprendre ce que tu veux faire, mais je suppose que tu veux ouvrir le volet si le taux de CO2 dépasse 50 ppm, dans ce cas il faudrait mettre "Value+" (et non pas "Value-") Euh, d'ailleurs.... 50 c'est irréaliste, la valeur extérieure est de 400, c'est impossible d'avoir moins à moins de remonter dans le passé avant le début du réchauffement climatique... Bref, un truc dans le genre devrait le faire (pas testé) : local id = { CAPTEUR_CO = 44, VOLET_BUREAU = 123, } GEA.add( {"Value+", id["CAPTEUR_CO"], 1000}, 30, "Trop de CO2, on ouvre", {"Open", id["VOLET_BUREAU"]} )

Tu as mis le doigt dessus, et c'est la raison pour laquelle Fibaro pousse à l'utilisation de leur propre service Cloud, qui sera toujours plus sécurisé qu'un port ouvert sauvagement sur le routeur Internet avec un certificat auto-signé (voir pas de chiffrement du tout en http !) Pour faire les choses proprement, c'est plus complexe. Il faut mettre en place un reverse proxy chez soi, disposer d'un nom de domaine, et il devient ainsi possible de faire signer un certificat par une AC publique, dans ce cas on obtient bien la sécurité minimale du https : chiffrement + authentification.

Pour le témoin lumineux, regarde le câblage sur le topic du Dimmer 1 : (je pense que sans neutre ça va être difficile....)

J'allais te suggérer d'inverser les 2 fils. Mais si tu l'as fait des les options du module, ça revient au même au final.

Concernant le certificat, c'est parfaitement normal, un certificat auto-signé, est, par nature, indigne de confiance. Pour qu'un certificat soit jugé digne de confiance, il faut qu'il soit signé par une autorité de certification, mais pour que cela soit possible il faut que l'URL appelée corresponde au certificat, ce qui n'est pas trop possible dans le cas d'une URL locale. Ceci explique pourquoi tous les sites Web en ligne, avec une URL associée à un nom de domaine publique, peuvent avoir un certificat signé par une autorité, tandis que les appareils locaux sur le LAN n'en ont jamais. Après, l'intérêt d'utiliser un certificat sur un réseau local LAN (donc une communication https chiffrée), qui plus est résidentiel, est pour moi nul. Perso je fais du http en local, ça suffit largement, et ça évite les avertissements inutiles de certificats autosignés. Si vraiment tu ne fais pas confiance à ton propre LAN et que tu veut faire du https, alors le plus simple est d'ajouter le certificat autosigné de la box dans ton navigateur web, ainsi tu n'auras plus les messages d'avertissement. Ou alors, tu es un vrai geek, et tu as ta propre autorité de certification à la maison.... et encore ça c'est le plus simple (plein de tutos sur le net), mais là où ça se corse, c'est de faire reconnaitre cette autorité de certification locale dans tous les appareils de ta maison (pour les différents navigateurs de ton PC c'est relativement facile, mais pour les appareils mobiles, c'est sportif). C'est tellement pénible que personne ne le fait... du moins à domicile Sauf les grosses entreprises, pour lesquels il devient pertinent de créer sa propre AC, la faire reconnaitre par tous les postes de travail grâce à une GPO, permettant ainsi de sécuriser toutes les transactions locales, typiquement les services web sur Intranet. Même si cette pratique tend à disparaitre, car on va de plus en plus vers des services cloud, donc hébergés sur Internet avec un nom de domaine publique, permettant ainsi d'avoir recours à une AC publique.

Faut voir le nombre de contacts, mais la réponse est normalement non. Le module RGBW sait piloter des rubans.... suspense... RGBW ! Et RGB aussi bien sûr.

Je ne suis pas certain, mais je crois me souvenir que c'est une limitation de l'interface Web, et que tu peux forcer un email différent en passant par l'API HTTP. On en avait discuté sur le forum il y a quelques temps il me semble. PS : bien malin celui qui arrive à prédire les évolutions prévues de la box, déjà que Fibaro n'a jamais été capable de tenir ses propres annonces marketing...