Lazer

Oui bien sûr tu peux avoir les 2 pinces juste pour le monitoring sans aucun souci. Et tu peux aussi mettre une pince branchée sur un IPX800 ou un EDRT2 en plus, si ça te fait plaisir. Tant que tu ne fais que mesurer, sans agir, c'est sans impact. Par contre attention, le routeur du ballon, il va aligner sa puissance sur le surplus disponible. Mais si le ballon est chaud à mi-journée, et bien.... l'installation va injecter tout l'après-midi. C'est ce qui se passe chez moi en ce moment. Et tu ne peux pas programmer le zéro-injection conditionnel. Ou alors il faudrait le faire par domotique, dynamiquement, en attaquant l'API en direct. C'est envisageable. Absolument, mais ce n'est pas propre à l'Allemagne du coup. D'ailleurs on en avait parlé avec mprinfo, j'avais très clairement dit que la meilleure rentabilité (donc taux d'autoconsommation élevé) était atteint avec de petites puissances installées. Sauf que... les gains sont limités, très limités même. Si on veut économiser plus sur sa consommation annuelle, il faut investir beaucoup... mais c'est moins rentable. Comprendre : c'est plus long à rentabiliser. C'est à peu près pareil pour tout investissement, les gains sont proportionnels aux sommes investies, mais le risque augmente avec. Si chaque ménage posait 2 ou 3 panneaux, ça serait une révolution

La passerelle a besoin des 2 pinces : une sur le circuit de production (le câble qui descend du toit), et une autre sur le circuit provenant du réseau (donc juste en aval du disjoncteur de branchement, en amont du tableau électrique principal). En mesurant le courant, et surtout le sens, elle peut savoir si on injecte ou soutire, et donc demander aux micro-onduleur de modules leur puissance. Par contre attention, la zéro-injection empêche le routeur du cumulus de fonctionner, forcément, puisqu'il mesure exactement de la même façon.

Oui je comprends que l'installation puisse ne pas être aisée, voire impossible. J'ai eu la même problématique, comme expliqué en 1er post, installation impossible par mes soins sur le toit le mieux exposé, donc je me contente du garage... rendant d'autant plus difficile la rentabilité, mais ça reste faisable. Après rentabilité... est-ce qu'on doit s'arrêter à la pure rentabilité financière (ce que nous sommes l'immense majorité à considérer), ou bien est-ce qu'il ne faudrait pas aussi regarder la rentabilité écologique ? Parce que l'écologie, ça coute cher, ça on le sait. Mais c'est un investissement pour l'avenir. Pour nous même, pour nos descendants. Mais aussi dès aujourd'hui pour les gens qui n'ont pas la chance d'être nés dans un pays riche et au climat tempéré. Et à ce sujet, quoi qu'en disent les économistes, banquiers, financiers, et autres climatosceptiques, le photovoltaïque est rentable au bout d'environ 2 ans, le temps de "rembourser" (on dit compenser normalement) l'empreinte liée à sa fabrication. Après ce qui est étonnant quand on creuse un peu la question, le photovoltaïque n'est pas si vert que cela. Si on s'intéresse aux émissions de carbone sur l'ensemble du cycle de vie du produit (fabrication, transport, installation, exploitation, retraitement, recyclage), d'autres technologies font bien mieux. En tout premier on trouve le nucléaire (et d'assez loin en plus...), viennent ensuite l'éolien et l'hydroélectrique. Le photovoltaïque émet donc plus de CO2 que l'éolien, je ne m'y attendais pas (comme quoi, les préjugés...). Et il est moins rentable financièrement aussi (à grande échelle sur des fermes industrielles). Il n'en reste pas moins inutile, car le soleil est un bon complément au vent afin de minimiser l’intermittence. Cela dit, à notre échelle de particulier, le photovoltaïque est le mieux que nous puissions faire, et potentiellement tout le monde est concerné (que ça soit en maison, ou en collectif sur le toit des immeubles). A contrario, très peu de gens ont la possibilité de poser une éolienne ou une hydrolienne dans leur jardin. Et encore moins une centrale nucléaire, et heureusement d'ailleurs.

Tu n'as pas de chance... De mon coté c'est vraiment ultra stable, c'est presque incroyable d'ailleurs, pas un plantage, les latences et freeze de la box ont disparu, ça tourne comme une horloge, malgré les environ 90 modules et très nombreux QuickApps et leurs familles d'enfants. Ma seconde box de test et développement sur laquelle il n'y a que des QuickApps, est tout aussi stable. Précisons que j'ai mon script de backup auto qui tourne tous les week-ends, donc ça provoque un redémarrage des services. Il n'y a que l'application mobile qui me casse toujours les pieds avec ses lenteurs et problèmes d'ergonomie, mais ça n'est pas lié à la box.

Ah la rentabilité.... Je n'ai plus les dates exactes en tête, mais en fait, quand tu regardes l'histoire du photovoltaïque en France, il été massivement subventionné par l’État entre 2005 et 2015 (à quelques années près donc, pardonnez moi l'approximation des dates) Au début le rendement était très mauvais et les prix élevés, mais EDF était obligé de racheter les kWh à un prix tellement élevé, et ce pendant 20 ans, que l'installation était obligatoirement rentable, et ce quelle que soit la région (hors arnaque.... ça existait déjà à l'époque) Donc on ne parlait pas d'autoconsommation, mais de vente totale (via un compteur dédié branché dans l'autre sens), il y avait littéralement 2 réseaux électriques distincts dans la maison. A mesure que la technologie s'est améliorée, EDF a racheté de moins en moins cher. Jusqu'au point de bascule, vers 2016 je crois, où EDF rachète les kWh produits moins cher que ceux qu'on leur achète pour notre propre consommation. Du coup à ce moment là, chute de la rentabilité, le marché français du PV s'effondre, les clients ne sont plus là, la plupart des installateurs ont changé de métier. Et le photovoltaïque est entrée dans la tête des gens comme étant une technologie non rentable. A peu près au même moment, la loi a légalisé l'autoconsommation, ce qu'on fait donc aujourd'hui. Et là, comme tu dis @henri-allauch , c'est beaucoup plus chaud pour rentabiliser l'installation. Déjà si tu fais poser par un installateur, ça double (voire triple sur Paris) le cout de l'installation. Donc pour rentabiliser un investissement pareil, il faut de bonnes conditions d'exposition, donc en gros à part habiter dans le sud, c'est mort. Sinon l'installation mettra 15 ans, 20 ans, voire plus à se rentabiliser, on s'approche de la durée de vie du matériel (20 à 30 ans en gros) Et je parle même pas des installateurs peu scrupuleux qui posent du matériel ultra bas de gamme n'importe comment, voire carrément des arnaques en bonne et due forme (des collègues ont été démarchés par des arnaqueurs, le pseudo-dossier fait peur à lire) Depuis l'explosion du cours du gaz (principalement à cause de la taxe carbone) qui a commencé à peu près à l'été 2021, sur un marché qui était déjà tendu à cause de l'arrêt définitif des centrales nucléaires en Allemagne Belgique et temporaire en France), cela a entrainé la hausse des cours de l'électricité (car comme vous savez surement maintenant, le prix européen de l'électricité est indexé sur la centrale en fonctionnement la plus chère... qui est une centrale au gaz probablement située quelque part en Allemagne). Donc hausse des prix de gros à partir du mois d'aout 2021, répercuté sur les factures des consommateurs à partir de l'automne 2021 (et certains qui ne font pas semblant, cf. Leclerc Energie qui a préféré mettre tout le monde dehors). L'UFC Que Choisir est obligé d'annuler son opération Energie Moins Chère (achat groupé) En décembre, les cours atteignent des sommets. Moi je suis retourné chez EDF fin novembre, et au même moment je me suis intéressé au photovoltaïque, persuadé que les prix allaient continuer de grimper. En passant, et indépendamment de toute polémique, un immense merci au gouvernement français qui a limité la casse, sinon on ne se prenait pas 4%, mais 24% d'augmentation en février. Les boutiques photovoltaïques de kits près à poser ont vu leur ventes augmenter sensiblement à peu près à la même période. Et puis est venu le deuxième effet Kisscool, très violent celui-ci, fin février 2022, lors de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Et là c'est la folie, les commandes ont explosé chez les revendeurs, on est passé de 3 jours de délai à 6 semaines (rien que pour le temps de préparation des commandes), sans même parler des problèmes de stock. Il y a aujourd'hui un vrai engouement, car une bonne partie de la population à compris que l'énergie serait bientôt un produit de luxe, et pourtant vital, au même titre que la nourriture. Oui parce que sans énergie, il n'y a pas de nourriture, sauf à faire pousser un champ de patate dans son jardin. Mais mécaniquement, selon la loi de l'offre et de la demande, les prix du matériel PV ont augmenté... Finalement, c'est grâce à la hausse des cours de l'électricité que la population française s'intéresse de nouveau au photovoltaïque. Tout de suite, quand ça touche au porte monnaie, les mentalités changent Du coup, pour en revenir à la rentabilité, la suite je l'ai expliqué dès le début de mon projet, quand on a de mauvaises conditions d'ensoleillement, il faut poser soi-même, et tout faire pour maximiser le taux d'autoconsommation afin de ne rien "perdre" (= donner gratuitement au réseau, ou pire, brider, cf mon coup de gueule contre notre distributeur national) Pour ceux qui ont une piscine ou un spa qui consomme en haute saison, et en journée, c'est juste parfait. Pour les autres (dont moi), il faut tout programmer, cumulus, chauffage, etc au maximum en journée. Sans domotique c'est mission impossible. D'ailleurs, autour de moi, on m'a pris pour un fou quand j'ai parlé de mon projet, à chaque fois c'est la même remarque : "Mais ce n'est pas rentable !". C'est bien pour cela que j'ai pris le temps de chercher, comprendre, et calculer, pour ne pas m'arrêter aux idées reçus, et démêler le vrai du faux (il y a énormément de désinformation au sujet du PV, et des énergies renouvelables en général... au sujet du nucléaire aussi... à croire que les gens ne veulent rester qu'au gaz, charbon, et pétrole, faut surtout pas changer....) Et quand on parle de désinformation, et puisque tu abordes le sujet des voitures électriques, ce sont les mêmes problématiques en fait... Aujourd'hui je suis allé au travail gratuitement, grâce au "petit bout de soleil" que j'ai mis dans mon "réservoir" hier , et ça c'est une sacrée satisfaction, tant financière qu'écologique Demain je reste à la maison, on va recharger la batterie, et vendredi je reprendrai la voiture. Tip top.

Ah oui et autre chose aussi, la box de supervision (appelée passerelle Envoy chez Enphase), est optionnelle, elle n'est pas branché dans la liaison directe du courant. Elle est branché en parallèle, si je puis dire ainsi, comme tous les appareils normaux de la maison. L'installation peut fonctionner sans, même si elle est fortement recommandée pour le suivi de production, l'extension de garantie, la mise en place de la politique de zéro-injection, etc. D'ailleurs ils proposent 2 modèles plus ou moins évolués. En général on la connecte sur un disjoncteur le plus près possible des panneaux, car elle communique via courant porteur. Chez moi si j'installe la passerelle dans la maison par exemple, elle n'arrive plus à communiquer avec les micro-onduleurs, donc je suis obligé de la connecter sur le tableau du garage.

En fait le Q-Relay ne fait pas coupleur, c'est juste un relai de sécurité qui fait coupure physique. Ce sont les micro-onduleurs IQ7 qui se couplent tout seuls. Mon garage est équipé d'un tableau divisionnaire, relié en 6mm² à la maison. Donc pas besoin de tirer un nouveau câble, c'est OK jusqu'à 32A. Ce tableau divisionnaire m'a évité d'ajouter un coffret AC dédié au photovoltaïque comme vendu par les boutiques, j'ai installé les éléments de sécurité (Q-Relay, disjoncteur, différentiel) directement dans le tableau du garage, qui dispose de la place (voir photo dans le topic)

Dans 99% des installations photovoltaïques, l'installation est couplée au réseau (= synchronisée pour reprendre ton terme). En anglais on parle de AC Coupling. En fait les onduleurs (que ça soit un onduleur central/de chaîne type Fronius, ou bien des micro-onduleurs type EnPhase ou AP Systems), n'ont pas la capacité de démarrer seuls, sans réseau sur lequel se synchroniser. Donc si tu n'es pas connecté au réseau, ou bien qu'il y a une panne d'alimentation électrique, les onduleurs ne peuvent pas démarrer. On pourrait imaginer qu'une fois démarrés, les onduleurs puissent continuer à fonctionner sans réseau. Mais c'est là que la sécurité entre en jeu. En cas de coupure réseau, il est probable que quelqu'un travaille sur l'installation avec des câbles nus (que ça soit toi qui bricole, ou bien un technicien Enedis en amont, ou même ton voisin chez lui), qui pourrait se faire électrocuter si l'onduleur continuait à produire. Donc par sécurité, les onduleurs ont obligation de se couper dès que le réseau n'est plus présent. Chez EnPhase, les micro-onduleurs IQ7 sont limités en fonctionnalité (pour assurer une meilleure fiabilité), donc ils ont déporté l'organe de coupure en externe, dans le tableau, c'est le fameux Q-Relay (qui n'existe pas chez les autres marques, car intégré directement dans les (micro)-onduleurs)

Alors oui ça commence par la déclaration de la CACSI. Jusque là, rien de trop compliqué. Mais si tu lis bien, tu verras que la CACSI impose le passage du Consuel, et ce même en dessous de 3 kWc (au motif du système installé sur site.... en pratique seul le kit d'un seul panneau vendu en grande surface de bricolage et à brancher sur une prise électrique standard permet d'éviter le consuel) Ensuite tu peux dépasser 3 kWc, mais tu restes limité à 6 kWc en monophasé. Au delà il faut passer en triphasé. Ce qui est complètement idiot car on peut avoir jusqu'à 12 kVA descendant en monophosé, mais seulement 6 kVA montant. La physique des électrons de l'électricité serait donc asymétrique chez les scientifiques d'Enedis ? Une belle aberration, encore inventée pour mettre des battons dans les roues des particuliers (les pros, c'est à dire essentiellement les agriculteurs, eux sont en triphasé) La vente sur surplus à EDF n'est possible que si l'installation a été réalisée par un pro (pas n'importe quel installateur, il faut qu'il soit agréé RGE machin-chose, donc formation spécifique, on en revient sur la création artificielle d'emploi par l’État) Évidemment, l'injection est interdite (malgré 2 textes de loi française qui l'autorise pour les installations < 3 kWc) Il faut dire que ça serait trop intelligent d'injecter (même gratuitement) au bénéfice des voisins, de la communauté, du pays. La loi parle de compenser les pertes. Non, il vaut mieux brider sa production. En ces temps de transition énergétique et de pénurie de gaz, qui entraine une flambée des prix de l'électricité, Enedis n'a rien trouvé de mieux à faire que de commencer à envoyer des courriers recommandés aux particuliers qui injectent, histoire de les en dissuader Sauf que brider l'injection, outre la perte d'énergie verte zéro carbone, ça pose de sérieux problèmes techniques sur notre propre installation. Comme la baisse du rendement (en pratique, l'onduleur laisse une très faible consommation, donc on se retrouver avec quelques Wh facturés... même en plein soleil). De plus ça empêche le routeur du cumulus de travailler, le rendant totalement inopérant. Et pour le plus malin qui se dirait qu'il n'a qu'à installer des batteries pour ne pas injecter et stocker son surplus, et bien... Enedis l'interdit ! Le seul moyen de le faire sans être emmerdé par ces attardés ringards d'un autre âge qui ne veulent surtout pas se remettre en cause et modifier leurs méthode de gestion du réseau Grid, ça serait de se couper du réseau physiquement (avec un inverseur de source). Et là, enfin, seulement comme ça, on pourrait avoir une puissance installée théoriquement illimitée, avec stockage sur batterie. Reste à gérer les périodes où les batteries sont vides, donc il faut rebasculer sur le réseau, avec la micro-coupure qui va avec, même si certains ont réussi à l'automatiser. C'est d'un pénible... Voilà, je crois que j'ai fait le tour des aberrations pondues par Enedis... mais j'en oublie peut être, et même surement en fait. Eux se contentent de se retrancher derrière la vieille rengaine que ça déséquilibre le réseau. Hé oh bandes de ..., il sert à quoi votre magnifique compteur Linky, à faire joli peut être ??? Doit-on vous rappeler qu'il est communiquant, selon votre volonté en plus ? Pfff..... Bref, il est quasi impossible d'être en règle vis à vis des décisions d'Enedis, et ça reste tout aussi vrai si l'installation a été posée par un installateur professionnel de la profession, soit dit en passant. C'est un peu pour tout ça que je ne voulais pas parler d'Enedis sur ce topic jusqu'à présent, car c'est à te saper le moral et te décourager de te lancer dans l'aventure photovoltaïque. Du coup, bah.... fait ton installation, profites-en, ne te pose pas de question, et le jour où Enedis viendra sonner à ta porte, il sera temps d'aviser.

Il faudrait ton log détaillé à l'heure dite (coucher de soleil +1h) pour comprendre ce qui se passe. Avec GEA.debug = true et GEA.lldebug = true dans ta config. Mais un conseil, comme je le dis toujours, il faut éviter les heures exactes, GEA n'a pas été conçu pour cela. Tu devrais tenter une plage d'au minimum 2 minutes : {"Time", "Sunset+60", "Sunset+61"}

Oui aussi Mais ça c'est vraiment débile, l’État ne sais plus quoi inventer pour créer artificiellement de l'emploi :/ Mais ça je m'en passe, mais au moins je fais l'installation dans les règles de l'art. (Idem pour les climatisations au passage, pour le coup j'avais eu de la chance j'avais posé la mienne la dernière année où les particuliers avaient encore le droit de le faire seuls) Pour les panneaux photovoltaïques, on a encore le droit de les poser seuls, mais pour combien de temps ? Quand on voit comment Enedis prend un malin plaisir à mettre des battons dans les roues des particuliers... c'est bien triste, surtout à l'heure de la transition énergétique et des récents problèmes d'approvisionnement énergétique (je n'ai pas trop parlé d'Enedis sur le topic, mais ils ne sont pas là pour nous faciliter la vie dans ce projet, bien au contraire...). La déclaration de travaux en mairie est une partie de plaisir en comparaison.

C'est obligatoire pour les véhicules électriques. 3G6 suffirait pour une ligne de 32A, mais la norme en a décidé autrement.... Dans le cas particulier des bornes de recharge.

Ah si possible en effet, mais je n'en ai pas à côté de chez moi.

Ouais mais quand c'est pas accessible, bah... c'est pas accessible. Je couvre les 500 m² de mon jardin avec mon réseau Z-Wave, de la cave au grenier, du portail au cabanon de jardin, en passant par le garage et même le puits. J'ai fait l'expérience d'inclure un module sur l'autre box domotique, et bien sûr, quand je vais à l'abri de jardin, et bien ça ne passe pas du tout. Pourtant un autre module identique à coté, qui bénéficie du maillage de la box de prod, fonctionne parfaitement. J'avais un FGBS 1ère version, connu pour sa faible portée. A 10 cm près, il captait, ou passait régulièrement en nœud mort. Pour mon portail, j'avais un module qui fonctionnait une fois sur 2. J'ai vite compris que ça correspondait à la position ouverte du battant, métallique, et qui faisait écran. J'ai d'abord ajouté un module relai dans la maison, au plus proche du portail, sans effet. Finalement, bien plus tard, c'est un module fixé sur le mur de clôture du jardin, pourtant à l'exact opposé de la maison, qui a pris le relai et qui permet d'apporter le signal jusqu'au portail. La route fonctionnelle n'est pas toujours celle qui va en ligne droite. Sur le forum, on a vu un membre dont le Wall Plug perdait le signal à 3 mètres de la box. Il y avait une porte avec un miroir entre les 2. Et sa feuille d'alu, donc écran total. Bref, maillage, donc beaucoup de modules sur secteurs bien répartis partout, ça a toujours été la clé du succès d'un réseau Z-Wave fiable. Un réseau bien maillé, c'est quasiment 100% de taux de réussite (car la perfection n'est pas de ce monde !)

Top De mon coté j'ai reçu mon chargeur de voiture domotisable aujourd'hui, je l'ai branché à l'arrache sur une prise et j'ai branché un câble RJ45, je suis déjà en train de jouer avec l'API et écriture du QuickApp en cours. Je vais bientôt pouvoir piloter la puissance de recharge en fonction de la puissance de production solaire Mais le plus dur sera de tirer le câble 3G10 mm² qu'il a fallu acheter spécialement pour l'installation.... Saviez-vous que le câble de 10 mm² n'est pas vendu dans les grandes surfaces de bricolage ? Je l'ai appris à mes dépens, je pensais que ça sera plus rapide et plus simple, et bah non, il faut aller sur Internet. Car les enseignes spécialisées comme la Plateforme du Bâtiment ne sont bien sûr pas accessibles sans carte pro...

Je n'avais pas mis le lien..... il faut juste faire une petite recherche : https://www.google.fr/search?q=site%3Adomotique-fibaro.fr+table+routage+z-wave+hc3

Il y a ce livre (que j'ai lu), mais il date des début du Z-Wave, je trouve qu'il est un peu obsolète, car le protocole a pas mal évolué depuis : https://www.amazon.fr/gp/product/1490537368/ Finalement on en apprend plus sur le Web. Une bonne série à lire à tête reposée : Z Wave Routing Basics Z Wave Routing Basics: Retry Strategies Z Wave Routing Basics: Application/Binding Retries, Heal and Explorer OK donc tu n'as pas tant de modules sur secteur que ça, surtout sur une site grande surface... ou plutôt devrais-je dire longueur, ce qui est pénalisant. Si tu continues à ajouter des modules sur secteur pour renforcer le maillage, ça devrait aller mieux.

Mais ce n'est pas ce que tu avais tenté quand je te l'avais suggéré ? EDIT : c'est vrai que je n'avais pas précisé qu'il fallait aller dans le BIOS pour choisir le périphérique de boot, mais me semblait évident... désolé.

Très certainement ni l'un ni l'autre Les modules qui passent en nœud mort, c'est généralement un problème de maillage du réseau Z-Wave, comme évoqué précédemment. Les latences, c'est plus probablement un problème de réseau Z-Wave saturé. Et là, c'est encore plus difficile à diagnostiquer. C'est souvent un module qui inonde le réseau de trames. Par exemple (cas vécus) : - cela peut être un Wall Plug trop bavard (réfrigérateur A+++ donc la conso varie très faiblement constamment, provoquant de nombreuses remontées de mesure de puissance vers la box) - un module dont le firmware a buggué (j'ai eu le cas sur un des premiers Fibaro RGBW avec un ancien firmware, mais aussi un module Remotec ZXT... sur le forum on a vu des gens avec des problèmes similaires sur d'autres marques) Sur la HC2 il y avait une scène (sur le forum officiel) pour identifier les modules bavards, à ma connaissance elle n'a pas (encore) été portée sur HC3. Déjà tu peux commencer avec la page PHP pour voir le maillage que tu trouveras ici sur le forum.

Tu n'auras pas d'amélioration significative en changeant de contrôleur (au mieux, ça sera anecdotique) La clé d'un réseau Z-Wave opérationnel, c'est un bon maillage. Tu dis que tu as 80 modules, mais tu ne précises pas de quel type. Or seuls les modules sur secteur participent au maillage. Les modules sur batterie sont passifs (endormis) et n'apportent donc rien à la qualité du réseau. 20m de long, avec probablement des murs épais, ça peut poser souci. Assures-toi donc d'avoir un bon maillage. Il y a une page PHP sur le forum qui permet de visualiser le maillage de son réseau, ça permet d'identifier les points faibles, les modules éloignées qui ont seulement 1 ou 2 mauvaise route.

A ton taf une HC3 Lite à 100€ sera mieux et coûtera moins cher que la réparation

C'est du beta quoi... Donc pas vraiment recommandé en production Il y a encore pas mal de bugs et modules non supportés, y compris de marque Fibaro (surtout les anciens modules)

Non, il est associé par numéro de série, seul Fibaro peut le faire. Mais vu les frais de SAV, pas sûr que ça soit rentable par rapport à une éventuelle revente

Oui bien sûr mise à jour en premier Choisi bien le moteur Z-Wave v2 lors de l'assistant d'initialisation

Pareil, je ne sais pas s'il est possible de lancer la migration sachant que la HC2 est HS. Autre chose à savoir, seuls les modules Z-Wave seront migrés. Les scènes, modules virtuels, etc, ne sont pas migrés. Il y a donc toute la configuration à refaire. Dis autrement, tu gagnes le temps d'inclusion des modules Z-Wave, ce qui peut parfois être intéressant quand tu as des modules planqués dans les combles par exemple. Perso j'avais tout ré-inclus, car j'avais quelques incohérences dans mon réseau sur la HC2 (plus probablement dues à des corruptions de la DB interne je pense), et j'en ai profité pour remplacer quelques modules par leur nouvelle version avec mesure de consommation. Et de toute façon, le temps d'inclusion de quelques heures de travail était négligeable dans mon cas, comparé au temps qu'il m'a fallu pour réécrire les QuickApp (plusieurs mois), si bien que j'ai fait ma migration 1 an après avoir acheté la HC3.